Grégoire A.

1 / Verre
Peut-on savoir de quel type de verre s’agit-il ? Soda-lime ? (Silicium, sodium et calcium)
10% d’Al2O3 sont nécessaires pour bloquer la migration du sodium dans le verre alimentaire
est-ce que ce sera le cas des Cellules PV fabriquées par Carbon.

Les fabricants de verre creux (Owens Illinois dans la région) pourront ils recycler ce type de verre ?

Le verre standard pour applications solaires est effectivement le verre de type silico-sodo-calcique, le plus commun, mais avec un contenu très bas de Fer, <100ppm, qui autrement augmenterait la réflectance.

Il se compose d’environ 70 % de silice (dioxyde de silicium), 15 % de soude (oxyde de sodium), et 9 % de chaux (oxyde de calcium) et il est produit par laminage et trempé. Il ne contient pas de l’oxyde d’aluminium, mais il peut contenir de trace d’antimoine pour augmenter la résistance aux UV et aux rayons de soleil.

Il est complètement recyclable pour réutilisation dans la production de verre solaire mais pas pour produire du verre flottant.

2/ Four
De quelle rubrique ICPE le four électrique refroidi par eau dépend-il ? (rubrique 2910)

Le classement ICPE des fours électriques est en cours de détermination avec les services de la DREAL. Néanmoins, ces fours ne relèveront pas de la rubrique 2910 qui vise les installations de combustion (avec combustible gaz, fiuol, biomasse) ; aucune combustion n’est réalisée au niveau des fours.

3/ Cheminée
L’évaporation de l’eau de refroidissement des fours se fait à l’aide d’une TAR,
une cheminée est-elle prévue pour évacuer les effluents gazeux.

Quelle est la hauteur de la cheminée (36 m) ? Quelle quantité expurgée par heure, quelles sont les impuretés rejetées, quel est la VLE de ces impuretés.
Est-ce qu’il va avoir un traitement des fumées : lavage des gaz, filtres à manches pour les poussières, lait de chaux pour le chlore, ammoniac pour les NOx ?

Concernant les valeurs précises, une réunion publique thématique a été consacrée aux rejets atmosphériques. Nous vous invitons à vous référer à la présentation de cette réunion : https://www.concertation-carbon-solar.com/wp-content/uploads/2023/09/CARBON-PPT-ReuPubThem2.pdf ainsi qu’au verbatim : https://www.concertation-carbon-solar.com/wp-content/uploads/2023/10/CARBON-Retranscription-ReuPubThem-3-1.pdf.

La future giga-usine CARBON est 100% électrifiée et ne rejettera pas de fumée contenant des NOx. En revanche, dans la phase de production des wafers les gaz générés passeraient à travers des laveurs de gaz où l’eau solubiliserait et neutraliserait les produits acides ou alcalins. Dans la phase de métallisation des cellules, les gaz seraient collectés par des conduits d’extraction et passeraient à travers des Filtres à Carbon Active absorbants. 

Dans la phase d’exploitation de la giga-usine, CARBON s’engage à respecter les valeurs d’émissions réglementaires et à travailler pour la réduction et/ou l’amélioration du traitement des rejets.

 

4/ Stockage pdt dangereux
Carbon utilisera-t-il de l’acide fluorhydrique (HF)?, quelle quantité (185 tonnes ?) comment sera-t-il stocké :
– Bac double enveloppe
– tank Container (mobile)
Capacité du bac de rétention ?

CARBON utilisera plusieurs dizaines de tonnes d’acide fluoridrique. À ce jour, les possibilités de stockage de l’acide fluoridrique sont encore à l’étude.

CARBON mettrait en place des détecteurs de fumée qui permettrait de déclencher des systèmes d’aspiration en cas de fuite. Aussi, des actions seraient menées pour assurer le stockage :

  • Des cuves double pots qui permettraient de capter une première fuite ;
  • Des rideaux PVC et des brouillards d’eau qui pourraient se déclencher en cas de détection de fuite.

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation. Les réponses sont dans les questions. 

NACICCA

*Lors de la réunion d’introduction, M. Pierre-Emmanuel Martin a indiqué dans ses propos que les parcs solaires au sol étaient bénéfiques à la biodiversité, ceci confirmé par une étude à laquelle aurait participé FNE. Lors de la réunion thématique Biodiversité et Environnement, ces propos ont été repris par le représentant d’une association de défense des riverains du Golfe de Fos. Nous demandons à ce que M. Martin précise ses propos et indique la source de sa référence bibliographique. Il serait en effet très surprenant que l’on puisse affirmer que l’implantation de parcs photovoltaïques au sol en milieux naturels, semi-naturels, agricoles (type prairies/vergers…) puissent être un gain pour la biodiversité, bien au contraire puisque l’implantation de ces parcs entrainent la destruction des espèces de flore présentes et la destruction d’habitats pour la faune qui les occupent.

Outre les toitures et ombrières solaires, les centrales solaires au sol peuvent contribuer à la restauration de la biodiversité sur les terrains abandonnés ou délaissés (les sites naturels ou forestiers sont – sauf exception – évités en France). En effet, ces terrains peuvent être aménagés pour favoriser le retour de la faune et de la flore locales. De plus, l’ombre créée par les panneaux solaires crée un microclimat favorable à certaines espèces. Dans une étude publiée en janvier 2022, FNE indique : « De manière assez intuitive, si l’état initial du site d’implantation du parc photovoltaïque était dégradé et/ou le niveau de patrimonialité était faible, les mesures de gestion sont venues apporter une évolution positive de la richesse spécifique [en matière de biodiversité]. Là où des mesures de gestion spécifique en faveur d’espèces à haute valeur patrimoniale ont été mises en place, ces mesures ont permis le maintien des espèces cibles voire une évolution positive de la patrimonialité. […] Il est à retenir que l’état initial du site, les habitats et l’abondance des populations d’espèces présentes alentours, la nature des travaux de construction et les mesures de gestion appliquées en phase d’exploitation sont déterminants pour créer des effets positifs sur la biodiversité. »  

Pour aller plus loin : 

FNE : https://fne-centrevaldeloire.org/dossiers/photovoltaique-et-biodiversite 

https://www.enerplan.asso.fr/medias/publication/Synthesephase1etudebiodivweb.pdf 

https://www.morbihan.gouv.fr/contenu/telechargement/45435/327126/file/Photovolta%C3%AFque+et+Biodiversit%C3%A9+biblio+CALIDRIS.pdf 

https://www.pv-magazine.fr/2019/11/22/les-parcs-solaires-favorisent-la-biodiversite-en-recreant-les-conditions-de-sol-preindustrielles/ 

Guide et bonnes pratiques : 

https://www.wwf.fr/vous-informer/actualites/panneaux-solaires-le-guide-du-wwf-pour-accelerer-en-protegeant-la-biodiversite 

https://librairie.ademe.fr/energies-renouvelables-reseaux-et-stockage/6122-photovoltaique-sol-et-biodiversite-enjeux-et-bonnes-pratiques.html 

*Lors de la réunion thématique Biodiversité et Environnement, un représentant du GPMM a présenté des extraits du Plan de Gestion des espaces naturels du GPMM et du Schéma Directeur du Patrimoine naturel. Nous demandons à ce que ces documents soient mis à disposition du public.

Le schéma directeur du patrimoine naturel (SDPN) est en cours de renouvellement. À ce titre, le SDPN n’est pas encore disponible à la consultation publique.  

Nous vous invitons à vous référer à la présentation faite par le Grand port maritime de Marseille : https://www.concertation-carbon-solar.com/wp-content/uploads/2023/09/CARBON-PPT-ReuThem1-18-09.pdf. Vous trouverez les mêmes extraits qui vous ont été présentés lors de la réunion publique thématique sur l’environnement et la biodiversité du 18 septembre 2023. 

*le projet présenté par Carbon repose sur de un aménagement du territoire bien souvent au stade de projets: en cours, abandonnés ou inexistants. Comme l’ambition d’utiliser la voie ferrée privée d’Ascométal (dont un salarié présent en réunion publique a indiqué la désuétude complète), l’élargissement des voies routières (liaison Fos/Salon, élargissement de RD268, contournement Port de Bouc /Martigues et par ricochet contournement d’Arles: dont les aboutissements ne sont pas garantie et qui crée des impacts sur l’environnement non négligeables, à une échelle géographique bien plus vaste que celle de la concertation sur ce seul projet ), plateforme Modalis etc. D’autant que la majorité de ces projets n’auront pas été concrétisé à l’horizon fin 2025 : date projetée de mise en service.
CARBON a d’ailleurs souvent indiqué que l’entreprise ne pouvait être responsable de l’impact de ces projets annexes. Aussi, pour une présentation honnête et transparente du projet, CARBON doit prendre en compte l’état actuel des aménagements annexes du territoire (routes, logement, services publics etc…) et ne pas projeter ou se baser un idéal inexistant, ceci induisant une minimisation des impacts du projet.

Concernant l’accessibilité et les modalités de transports, CARBON travaille en collaboration avec les autorités compétentes pour optimiser différentes solutions.  

CARBON n’a aucune volonté de diminuer les impacts du projet ni d’idéaliser l’inexistant. Néanmoins, il est opportun de construire le projet en prenant en compte les différentes opportunités qu’offrent ou pourraient offrir le territoire. À ce titre, et si le projet venait à se réaliser, il est souhaitable de mettre en lumière toutes ces éventualités et d’affirmer l’implication de CARBON dans leur développement.  

Une réunion publique thématique concernant l’intégration territoriale du projet se tiendra le jeudi 12 octobre 2023 dans la salle polyvalente, rue Gabriel Péris, à Port-de-Bouc. Ce temps d’échange sera l’occasion d’aborder ces thématiques et de permettre aux autorités compétentes de s’exprimer sur leurs domaines de compétences. 

 

*Lors de la réunion thématique Biodiversité et Environnement, il a été indiqué que 600 000m3 de remblais seraient nécessaires pour la construction des 3 projets (Carbon Solar, Gravity, H2V). Carbon Solar, pour ce qui le concerne peut il indiquer l’origine de ces remblais et le trafic camions engendrés par la construction de l’usine?

En effet, dans le cadre de la gestion du risque de submersion marine, le projet nécessiterait une rehausse du niveau du site de 2,40 mètres par remblais afin de maîtriser tout risque environnemental en cas d’inondation. Le volume de matériaux d’apport à approvisionner sur site pour réaliser la mise à la cote de 2,40 m NGF (Nivellement général de la France : réseau de repères altimétriques disséminés sur le territoire français métropolitain continental, ainsi qu’en Corse) serait de 108 000 m3.  

Il s’agirait soit de matériaux de remblais naturels issus de carrière soit de matériaux recyclés. Les sources d’approvisionnements seraient choisies au plus près du site suivant disponibilité. Cet approvisionnement générerait la circulation quotidienne de 200 camions pour une durée de deux mois. Le GPMM a pour habitude de gérer ce type de flux supplémentaire (de précédents projets ont pu générer un flux de plus de 800 camions par jour).

*Lors de la réunion thématique Biodiversité et Environnement, Mme Emilie Chalas s’est engagée au nom de carbon solar de fournir les résultats des inventaires faune flore de la zone d’étude d’ici la fin de la concertation. Un représentant de H2V a également pris la parole pour donner son accord à ce partage de données acquises lors de la réalisation de leurs études environnementales. Nous demandons à ce que cet engagement soit honoré.

Les études seront bien entendues rendues publiques puisqu’elles seront versées à enquête publique. Comme indiqué lors de la réunion publique dédiée, pour ce qui concerne son emprise, CARBON s’engage à rendre les études faune/flore publiques le plus tôt possible. 

*Nous sommes très surpris qu’il n’y ait aucun enjeu insectes sur la zone d’étude, selon la présentation de Laura Pinson (SOCOTEC)

 

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation et vous prions de bien vouloir trouver les réponses dans le texte. 

Simon P.

Je soutiens entièrement ce projet d’usine de panneaux photovoltaïques. La France en a urgemment besoin pour sa souveraineté et sa transition énergétique.
Il est primordial de ne plus dépendre totalement de l’Asie pour cette technologie. Ce projet apporterait également de très nombreux emplois ce qui ne peut être que positif pour la région.

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation. 

Christophe R

Bonjour
Pourquoi investir 1.5 milliards d’euros et repartir de zéro alors que l’on a déjà un fabricant de panneau solaire bien Français.
Il se situe à Bourgoin Jallieu en isère. Il y a quelques années il était complétement intégré jusqu’aux modules (lingots/wafer/cellules/modules).
PHOTOWATT est maintenant juste fournisseur de wafer et il est détenu par EDF ener.
Mais il n’est pas rentable et EDF ener ne sait pas quoi en faire. Une usine qui agonise
Même en passant à la technologie monocristalline, je ne vois pas comment ce tout nouveau site va être rentable !!! L’avenir le dira

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation. 

L’entreprise Photowatt est effectivement la plus ancienne société de fabrication de solaire phovoltaïque au monde. Si elle rencontre des difficultés depuis une quinzaine d’années, elle maintient toutefois un savoir-faire unique en France et en Europe et fait preuve de résilience, notamment grâce aux investissements portés par son actionnaire unique et aux équipes compétentes qui travaillent au sein de l’usine. 

Le modèle de CARBON est très différent en termes de solutions industrielles et de choix technologiques. C’est entre autres celui d’une giga-usine intégrée verticalement qui permet d’atteindre un optimum industriel permettant les économies d’échelle. À titre de comparaison, le site industriel de Photowatt s’étend sur quelques hectares, emploie moins de 200 personnes et produit quelques centaines de MW par an, tandis que la giga-usine de CARBON s’étendrait sur plusieurs dizaines d’hectares, emploierait 3000 personnes et produirait 5 GW (soit 5000 MW) par an. 

Paul A.

En tant qu’acteur de la filière EnR en France, je soutiens le projet : nous devons relocaliser notre appareil productif en France et devenir pleinement souverain sur toute la chaîne de valeur de la production d’électricité propre.

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation. 

Chakib B.

Bonjour,
Je suis ravi de constater qu’un projet d’une telle ampleur voit le jour sur notre territoire.
La France a un savoir-faire qui doit être reconnu à sa juste valeur.
Ce n’est que par ce type d’engagement que nous relocaliserons notre industrie et que nous relancerons notre technologie.
J’ai la conviction que CARBON servira de modèle et d’élan pour un maximum de projets industriels nationaux futurs.

Cordialement,
Chakib B.

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation. 

Michael M.

Bonjour,

J’ai assisté à plusieurs de vos réunions de concertations et suite à cette dernière sur les Emplois vous nous avez proposé des horaires en 3×8 en semaine et des horaires en 2×12 le Week-end.
Vous avez proposé un début de poste à 4h30 pour les équipes du matin ce qui me parait trop tôt, ayant travaillé en 5×8 (Horaires 5h-13h/13h-21h/21h-6h) le poste du matin est difficile si nous n’avons pas assez de sommeil et impacterai encore sur la vie familiale et la santé de vos collaborateurs.
Pour ce qui est des postes de Week-end la difficulté sera de trouver du personnel voulant sacrifier le Week-end (même s’ils seront libre le reste de la semaine)

Votre modèle de fonctionnement proposé est sur la base de 4 équipes tournante ce qui déséquilibre les horaires de travail : 40h/semaine pour les équipes posté (Le problème de fatigue va s’accumuler même s’il y auras des RTT pour palier à cela, qui va rajouter une problématique de planning d’équipe pour les poser surtout s’il n’y auras pas de polyvalence dans le travail des opérateurs pour le Rampup) et 24h/Week-end, peut être faudrait il tourner sur 5 équipes en 5×8 comme sur le modèles de plusieurs entreprises.

Vous nous avez bien précisé que tout cela était toujours en cours de réflexion et je voulais mettre ma pièce à l’édifice afin que l’entreprise Carbon soit une entreprise responsable du bien de ses collaborateurs.

Pour vous aider dans vos démarche je pense que vous pourriez sonder vos futurs collaborateurs en leurs proposant plusieurs types d’organisation en travail posté et de décider à l’unanimité.

Cordialement,

Michaël M.

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation.

Corinne

Qu’est il prévu à ce jour en termes de mesures ER et finalement de compensation vis à vis de l’impact faune flore?

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation.

 

En effet, la zone étudiée pour l’éventuelle implantation de la giga-usine s’insère dans une vaste plaine littorale abritant une biodiversité remarquable, surtout en ce qui concerne la flore et l’avifaune avec une diversité d’espèces relativement élevée. Situé entre la Camargue, la plaine de la Crau et le littoral méditerranéen, il s’agit d’un espace de transition contrasté et original. 

 

La concertation, et notamment la réunion publique sur l’environnement, ont permis d’expliquer en détails les enjeux réglementaires concernant la procédure “éviter, réduire, compenser” (ERC) et les règles qui s’appliqueraient si l’implantation de CARBON était confirmée sur ce site. 

 

Pour plus de détails, nous vous invitons à consulter le dossier de concertation et plus précisément le chapitre 4 sur les enjeux environnementaux. De la page 48 à la page 50 vous trouverez les impacts et les enjeux liés aux milieux naturels, faune, flore et zone humide et les mesures ERC liées, si le projet venait à être réalisé.

  

Vous trouverez le dossier de concertation téléchargeable ou consultable en ligne sur le lien suivant : https://www.concertation-carbon-solar.com/wp-content/uploads/2023/08/CARBON-Dossier-de-concertation-WEB64.pdf 

 

Par ailleurs, nous vous invitons à consulter le compte-rendu littéral de la réunion publique thématique concernant l’environnement et la biodiversité : https://www.concertation-carbon-solar.com/wp-content/uploads/2023/09/VERBATIM-Reupubthem1-VF.pdf ainsi que la présentation de la réunion : https://www.concertation-carbon-solar.com/wp-content/uploads/2023/09/CARBON-PPT-ReuThem1-18-09.pdf.

 

Ces documents vous permettront certainement de compléter les informations contenues dans le dossier de concertation.  

 

Corinne

Bonjour. Est ce que le PPRT de Fos Ouest sera révisé ou est-ce qu’il y aura un nouveau PPRT?

 

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation.

Le site du projet est situé au cœur d’une zone industrialo-portuaire d’ores et déjà soumise à un Plan de prévention des risques technologiques (PPRT). Les PPRT sont des documents de planification visant à prévenir les risques associés à certaines installations classées présentant des dangers particulièrement importants pour la sécurité et la santé des populations voisines et pour l’environnement (effets sur la salubrité, la santé et la sécurité publiques directement ou par pollution du milieu).  

Dans le cadre du projet CARBON, il est prévu que les risques soient contenus au périmètre d’implantation. Si le PPRT devait être mis à jour, ce serait à l’initiative de l’État.

Christophe P.

Bien vu l’implantation d’une usine de panneaux solaires, de plus dans le sud de la France. Cela marque le coup en France et en Europe. Il est certain que la zone choisie pour l’implantation de l’usine est pertinente, meme s’il doit demeurer quelques enjeux environnementaux notamment. Nulle doute que la société Carbon, promotrice de l’usine, pourra compenser sans difficulté les enjeux.

Nous vous remercions pour votre participation à la concertation.

1 3 4 5 6 7 8