Nicolas B.
Bonjour
Ravis qu une entreprise de cette envergure vienne s’implanter dans notre région
Bonjour
Ravis qu une entreprise de cette envergure vienne s’implanter dans notre région
Bonjour.
Ayant assisté à plusieurs réunions de concertation je tiens à vous faire remonter mon avis global (qui est partagé avec plusieurs personnes) sur les importants écueils qui remettent en cause la faisabilité du projet Carbon pour le citoyen que je suis mais qui doivent aussi inciter les promoteurs du projet à mettre bout à bout ces écueils avant de valider le lancement du projet.
– quelles infrastructures de transport des personnes et marchandises : la route est déjà saturée et le ferroviaire même amélioré ne pourra répondre au besoin. Des investissements massifs seront nécessaires mais rien de défini pour l’instant.
– pour le site Carbon lui même, il faut trouver 3000 salariés : en « importer » au moins 1500 et dépouiller la quasi totalité de l’offre locale (pour les autres sites). Catastrophique pour les autres sites qui sont déjà en tension forte de personnel qualifié.
– avec les emplois induits on monte à 10 000 personnes. On ne peut pas le définir précisément mais on peut raisonnablement compter qu’ils devront en ‘importer » au moins 5000. Il faut loger ces nouveaux salariés et leurs familles : ou ? avec quels prêts bancaires ? Tout est bloqué. Et les aménagements devront suivre : les écoles , services publics, etc…? ou sont les études, les ressources financières et en terme d’espaces constructibles ?
– l’idée de faire appel à des chômeurs longue durée et éloignés de l’emploi est fumeuse : ils ont besoin d’un lourd et long accompagnement avant d’être autonomes. Une formation de quelques semaines est ridicule.
– selon la porte parole de Carbon et dit en réunion : pour être compétitifs avec la Chine Carbon compte sur une future réglementation européenne de taxe sur les importations. C’est un pari très risqué : Carbon n’a pas de contrôle sur cette décision qui mettrait tout par terre si elle ne correspondait pas au besoin de Carbon.
– L’enjeu écologique est majeur mais mal défini . L’étude n’est meme pas finie ! La possibilité et le montant des mesures de compensation sont des inconnues.
– Le SDIS et les pompiers devront être redimensionnés avec la présence des 3 nouvelles usines. C’est d’une importance capitale ; ou sont les études et les budgets sur ce sujet ?
– RTE va alimenter directement Carbon en 225KV grâce à une liaison souterraine, à partir d’un poste à très haute tension situé à 700 m du site et affirme que la distribution électrique des industries de la taille de Carbon est indépendante de celle des particuliers. Les affirmations de RTE ne sont que partiellement vraies car en cas de limitation de la production pour une raison ou une autre (comme les nombreuses centrales à l’arrêt l’hiver dernier), ce sera bien l’ensemble de la fourniture qui sera limitée, particuliers et industrie confondus.
RTE présente la question sous un aspect uniquement local : le découplage des réseaux THT et Moyenne Tension (MT) dans le secteur de Fos est bien réel mais en amont, c’est la quantité totale d’électricité devant être fournie qui devra augmenter. Il faut noter que la consommation crête de Carbon (230MWh) correspond à celle de plus d’1 million d’habitants soit la moitié de la population des Bouches du Rhône. Vu l’état de tension du réseau l’hiver dernier, par exemple, il aurait fallu arbitrer entre fournir la population ou fournir Carbon.
Je vous prie de tenir compte de mes remarques dans l’avis que vous rendrez.
Meilleures salutations
D B.
FNE13, association agréée, fédère 50 associations de protection de la nature et de l’environnement, dont plusieurs de leurs représentants sont intervenus au cours des différentes réunions publiques qui ont émaillé la courte période de concertation publique sur le projet CARBON de méga-usine de fabrication de panneaux voltaïques. Eu égard à l’ampleur du travail d’investigation et d’analyse que ce dossier génère pour nos associations, nous regrettons que notre demande de prolongation de la durée de concertation n’ait pas reçu de réponse de la part de la Commission nationale du débat public.
Nos interventions ont permis d’aborder différents sujets de préoccupation sur lesquelles vous nous permettrez ici de revenir.
La consommation de ressources
L’objectif de décarbonation de l’industrie, et celui de moindre dépendance vis-à-vis de pays tiers, ne saurait justifier de s’engager, à grande échelle, sur des pistes qui se seraient pas suffisamment étayées sur le plan social, environnemental et économique. Un bilan prévisionnel complet justifiant le projet est indispensable dès lors que la consommation envisagée de ressources est aussi importante.
Nous sommes tout particulièrement attentifs à la provenance des matières premières (et aux conditions sociales et environnementales de leur extraction), à la consommation en eau qu’elle soit qualifiée d’industrielle ou de potable (il s’agit dans les deux cas de l’eau de nos fleuves -le bassin du Rhône- et de nos rivières -le bassin de la Durance- dont on annonce une baisse du débit d’environ 30 %), et bien sûr en électricité dont les besoins sont croissants et les sources non neutres en impact environnemental.
La localisation du projet
La localisation envisagée pour le projet nous interpelle à plusieurs titres :
la consommation d’espaces non artificialisés, écologiquement riches malgré leur situation au cœur du foncier portuaire, alors même qu’il existe au bas mot 250 ha de friches industrielles sur la Métropole Aix-Marseille-Provence, dont la maîtrise foncière doit être assurée (cf. loi ZAN)
l’éloignement du site envisagé des zones d’habitat, ce qui génère :
de longs temps de trajet domicile/travail, préjudiciables à la qualité de vie et à l’environnement, et qui constituent un handicap majeur pour l’embauche des personnels
une charge pour la collectivité (et l’entreprise) pour la mise en œuvre des solutions de mobilité adaptées, moins impactantes pour l’environnement.
Signalons à ce titre que les friches industrielles existantes se situent à une proximité plus raisonnable de zones d’habitat, et des réseaux de transport et d’énergie.
L’effet délétère d’entraînement au développement de projets écocides
Pendant que le porteur de projet, accompagné par les services de l’Etat, semble déployer certains efforts pour minorer l’impact environnemental de son projet, notamment en termes de mobilité des salariés et de transport des marchandises, d’autres acteurs en appellent à l’accélération de projets écocides, notamment routiers.
Il est utile de rappeler que :
les infrastructures routières doivent, en toute logique, être dimensionnées pour l’heure moyenne tandis que les transports collectifs, eux, doivent être dimensionnées pour l’heure de pointe
le Préfet de Région a indiqué, en synthèse du débat public sur le projet de liaison Fos-Salon, que l’Etat prendra ses responsabilités, mais qu’il incombe aussi aux collectivités territoriales de prendre les leurs (développement du train, des transports collectifs, des pistes cyclables …)
les études de trafic confirment, s’il en était besoin, que les routes appellent les routes (et le trafic) et la non-réalisation du barreau des étangs permet d’en rester à un dimensionnement des tronçons nord et sud de cette liaison Fos-Salon moins impactant pour l’environnement
une gestion dynamique du trafic permet d’optimiser l’utilisation des infrastructures et d’éviter leur élargissement, toujours préjudiciable à l’environnement cf. RD 268).
La gestion des risques industriels
Nous ne saurions rappeler l’attention extrême qu’il convient d’apporter à la gestion des risques industriels, s’agissant de la perspective d’une ICPE de type Seveso seuil haut.
Il eut été préférable de disposer, dès la concertation publique, d’indication plus précise sur les dispositions envisagées en matière de PPRT dans un contexte de co-existence de sites industriels déjà soumis à cette réglementation.
Vous l’avez compris, notre fédération restera vigilante aux suites qui pourront être données à cette concertation publique, sur l’ensemble des thématiques évoquées ci-avant.
Restant à votre disposition pour tout contact, nous vous prions d’agréer, Messieurs les garants, l’expression de nos meilleurs sentiments.
Richard H., Président FNE13
Pour voir le courriez, cliquez-ici
Objet : Contribution de l’association MCTB Golfe de Fos Environnement concernant le projet CARBON de construction d’une giga-usine de fabrication de panneaux solaires à Fos-sur-Mer (copie en pièce jointe)
Messieurs,
Notre association a participé à toutes les réunions de concertation sur ce projet. Nous tenons à remercier l’ensemble des participants, les intervenants, les garants de la CNDP et l’équipe du porteur de projet pour la qualité des échanges auxquels nous avons assisté.
LE PROJET
Cette Giga-Usine sera implantée sur le territoire du GPMM (Grand Port Maritime de Marseille-Fos) et devrait utiliser environ 60 hectares dont 30 hectares seront bâtis ; la zone d’implantation choisie est une zone de remblais datant de la création du GPMM. La quasi-totalité de la superficie sera surélevée par ajout de matériaux de remblais naturels issus de carrière ou de matériaux recyclés pour atteindre une hauteur de 2.40 NGF, afin de prémunir le site d’une submersion.
CARBON prévoit la circulation de 3000 employés, plus celle de ses produits et matières premières. La viabilité et l’impact du projet reposent sur des aménagements non-existants, dont les réalisations et les décisions dépendent de facteurs extérieurs (RD268, liaison Fos-Salon, réseau ferré, plateforme MODALIS, transports en communs, etc).
Le projet pourrait voir le jour dans les trois ans, compte tenu des problèmes de foncier et du temps administratif pour obtenir les autorisations nécessaires, soit 2026.
Ce projet est une opportunité pour la France car nous avons besoin de produire sur le territoire national les panneaux photovoltaïques qui fourniront une partie de notre électricité de demain. Globalement ce projet semble bien pensé pour limiter son impact sur l’environnement et les trafics routiers (voir nos observations en fin de ce document) ; il pourrait participer au renouvellement des industries vieillissantes de la ZIP de Fos.
LE CONTEXTE
Cette opportunité n’est pas identique localement car quel que soit le bénéfice de décarbonation qu’en tireront la France et l’Europe, Fos-sur-Mer subira une aggravation des pollutions dues aux émissions de cette nouvelle usine et des transports induits.
En effet, ‘plus’ n’étant jamais égal à ‘moins’, l’ajout d’une nouvelle GIGA-Usine classée SEVESO ne peut pas réduire les pollutions et nuisances de notre territoire ; cette industrie et l’industrie en général qui devrait apporter du confort à la population riveraine, ne fait qu’ajouter aux nuisances et désagréments qu’elle subit du fait de cette proximité.
Cet état de fait est principalement dû à toutes les instances administratives qui ont laissé les alentours de la ZIP de Fos se dégrader, tant dans les infrastructures routières et ferroviaires qui ont été abandonnées depuis 40 ans, que dans les moyens de transports terrestres des populations et des marchandises.
L’incapacité du gouvernement, de la région, du département et des élus locaux à trouver un consensus pour mettre à niveau ces infrastructures, est manifeste. On a pu noter au cours de la réunion du 12 octobre 2023 à Port-de-Bouc que
• Le directeur régional de la DREAL Paca*1 réfléchi encore à ce problème (sic),
• Le contournement routier de Port-de-Bouc débuterait, peut-être, en 2029,
• La liaison routière Fos-Salon débuterait, peut-être, en 2031,
• La Conseillère Régionale*2 estime que l’impact de ce projet est neutre (!!),
• La vice-présidente du département chargée des routes*3 n’envisage plus l’aménagement de la RD 268 en raison d’une demande de compensation de 200 hectares impossible à honorer.
Tout ceci démontre que notre territoire local n’est, hélas, pas prêt à recevoir ce projet.
Cependant la conjonction, des intérêts nationaux, des besoins du territoire et de l’intérêt économique du projet, pourrait être un accélérateur des moyens et des volontés à redorer le pôle d’activités industrielles du Golfe de Fos et ses accès. Pour cela, les instances dirigeantes devront faire preuve d’engagements rapides et concrets.
Dans l’hypothèse de décisions rapides (avant enquête publique) de la part de nos dirigeants et si toutefois l’étude de ce projet devait être prolongée,
CARBON devrait maximiser la réutilisation de l’eau au-delà de ce qui est prévu aujourd’hui (pistes de re-condensation et de réutilisation des eaux purifiées plutôt que rejetées dans la nature),
CARBON devrait respecter des seuils limites d’émissions, en deçà des seuils nationaux, compte tenu de l’hyperconcentration des sites Seveso sur la ZIP de Fos
CARBON devrait proposer une incitation pour les employés à utiliser les navettes privées de l’entreprise (sous forme de prime ou de bonus), ceci en plus de la prise en charge à 100% des transports en commun.
CARBON devrait prévoir que toutes ses installations y compris les stations d’épuration, les stockages de matières, de déchets, etc, seront dans des bâtiments clos et couverts.
En phase travaux, CARBON devrait mettre en place un système de rinçage des trains de pneus des PL en sortie de chantier
– magnifique projet
– toutefois, certaines incertitudes concernant la fabrication de 5 GWc/an de panneaux solaires à un coût compétitif doivent être levées
– la fabrication de 5 GWc de panneaux solaires nécessite l’utilisation d’environ 5 à 10 000 tonnes de Si de « qualité solaire » : origine et assurance d’un coût compétitif de cette matière première ?
– de même, si le panneau solaire doit être en verre, 5 GWc représente une superficie d’au moins 25 km2 de verre : origine et assurance d’un coût compétitif ?
-la fabrication de panneaux solaires consomme une grande quantité d’énergie (fusion du Silicium à 1410 degrés, découpe des lingots de silicium, fabrication du verre…). Quel est le « temps de retour « prévu, c’est-à-dire le temps au bout duquel le panneau solaire aura produit en électricité la quantité d’énergie nécessaire à sa réalisation ?
– actuellement le prix de vente du Wc sur le marché semble inférieur à 0.15 à 0.20 €/WC, et qu’une quantité énorme de panneaux soient en stock en Europe . Les panneaux fabriqués à Fos seront-ils compétitifs à ce niveau, ou un soutien financier gouvernemental sera-t-il nécessaire, avec éventuellement des mesures protectionnistes ?
Emmanuel F.
Merci pour votre participation à la concertation et pour vos encouragements.
L’approvisionnement en matières premières est à ce jour encore à l’étude.
Des premières modélisations font état d’un besoin annuel en polysilicium de 14 à 15 000 tonnes. À ce jour, CARBON est en discussion avec l’Allemagne plusieurs fournisseurs pour assurer cet approvisionnement.
Concernant le verre solaire, le besoin de CARBON s’élèverait à 160 000 tonnes de verre solaire par an. Le verre solaire pourrait venir d’Europe, de Turquie, du Canada, des Etats-Unis, d’Inde ou de Chine. ou d’Asie.
CARBON échange avec plusieurs producteurs dans des zones géographiques différentes afin de sélectionner les meilleurs fournisseurs. CARBON s’engage à privilégier les produits d’origine européenne afin de réduire les importations extra-européennes.
Pour plus d’information sur l’approvisionnement en matières premières de la future giga-usine, nous vous donnons rendez-vous à la page 36 du dossier de concertation : https://www.concertation-carbon-solar.com/wp-content/uploads/2023/08/CARBON-Dossier-de-concertation-WEB64.pdf
CARBON vise le meilleur contenu carbone du marché pour des panneaux à base de cellules silicium. Nous ciblons moins de 350kgeqCO2 / KWc.
En fonction du mode de calcul retenu, la giga-usine CARBON permettrait d’éviter les émissions de 22 à 44 millions de tonnes équivalent CO2 dans l’atmosphère en 10 ans.
En moyenne, en Europe, un panneau photovoltaïque a d’ores et déjà un temps de retour énergétique (EPBT) d’environ 1, ce qui veut dire qu’un panneau « rembourse » sa dette écologique en 1 an d’utilisation. Au cours de sa durée de vie, en fonction de son emplacement, de son orientation, etc. un panneau est amené à produire 20 à 52 fois plus d’énergie qu’il en a « coûté » pour sa fabrication (c’est ce que l’on appelle le taux de retour énergétique).
CARBON entend produire des cellules et des modules photovoltaïques compétitifs. Le prix actuel sur le marché ne représente pas les coûts réels de production, même en Chine, mais davantage un coût d’opportunité lié à une surcapacité de production et à un surstockage, dans un contexte où la régulation fait à ce stade défaut. Le cadre législatif et réglementaire est en cours d’évolution pour permettre de retrouver des conditions de marché équitables.
Dans un contexte géopolitique incertain et une moment économique compliqué, le projet Carbon permet de pourvoir de nombreux emplois, de dynamiser une région et de s’affranchir de l’importation de panneaux majoritairement Chinois.
Il répond aussi et surtout à une logique de décarbonisation de l’approvisionnement de panneaux, ce qui est essentiel dans une filière verte.
Tous mes vœux de réussite à l’équipe Carbon.
Bonjour,
je vous transmets un courrier ainsi que la contribution du CESER sur le projet CARBON. J’ajoute que la commission environnement a auditionné l’entreprise CARBON dans le cadre de son avis « Quelle stratégie régionale en matière d’énergie renouvelable et décarbonée ? » qui sera adopté en novembre 2023.
Bonne réception,
Jean-Laurent M.
Bonjour, je trouve que l’implantation d’une telle usine sur le territoire français est une réelle opportunité à plusieurs titres : essor des énergies vertes, indépendance technologique et création d’emplois. C’est pourquoi je souhaite apporter mon soutien citoyen à ce beau projet. Cordialement Nicolas
Nous vous remercions pour votre participation à la concertation.
il est temps que la France change de stratégie et opte pour l’industrialisation du territoire. La carte du monde change de façon continue et rapide, nos dirigeants doivent prendre des risques mesurés afin de développer une industrie compétitive et solide, l’influence française perd du territoire à cause de la politique du ministère des affaires étrangères, afin de remédier à cela l’industrie est le meilleure moyen de faire rayonner le savoir faire Français et redonner de la confiance à nos anciens partenaires économiques. Le projet Carbon est un projet type de ce que la France doit promouvoir, la planète à besoin d’énergies renouvelables afin de décarboniser notre production d’électricité et notre industrie. Les panneaux serviront au ménages et aux industriels pour produire leurs électricités. la production de masse des panneaux permettra de réduire les couts et de rendre cette technologie accessible, de plus avoir la maitrise de cette technologie permettra d’augmenter le rendement des panneaux.
Nous vous remercions pour votre participation à la concertation.
Giga-usine, oui, mais propre et responsable. Le mot « Giga » peut effrayer les non connaisseurs.
Très beau projet pour contribuer à l’industrialisation de notre pays, industrialisation qui reste indispensable, plus propre et responsable. Belle perspective pour visibilité à l’internationale et l’exportation. Fera une part belle à la transition énergétique voulue par les Français et le gouvernement.
Localement, cette usine va permettre la création de beaucoup d’emplois directs et indirects, optimiser le savoir français, et donc va dynamiser et générer une belle économie pour les départements environnants (13-84-30).
Beau projet !
Nous vous remercions pour votre participation à la concertation. Nous ne manquerons pas de revenir vers vous prochainement.